Sète : le port de Georges Brassens divisé face aux « méga-yachts »

Source : www.ledauphine.com

Opportunité pour le développement local ou menace sur le caractère populaire et l’environnement de Sète? Interrogés sur le tarif des anneaux qu’ils vont facturer à leurs clients après avoir versé une redevance de 250000 euros les deux premières années au port (puis 500000) les dirigeants ne fournissent pas de réponse se contentant de dire que « Sète n’est pas Saint-Tropez ou Monaco ». « Il faut savoir ce que l’on veut » souligne un jeune Sétois. « Ici il n’y a pas de boulot et ce projet peut créer des emplois ».