Un chantier naval solidaire offre une seconde vie aux bateaux en polyester

Source : lemonde.fr

En deux ans et demi d’existence, Bathô a détourné 25 voiliers délabrés de leur vocation maritime, après quatre cent cinquante heures de travail en moyenne, et pour 16 000 à 25 000 euros pièce. Le chiffre d’affaires est correct (200 000 euros en 2019, 80 000 euros l’année du Covid-19), mais les clients manquent encore à l’appel du large sans les vagues.