Pourquoi les chantiers navals bretons résistent face à la crise?

Source : letelegramme.fr

Comme pour beaucoup de chantiers bretons, le principal handicap au développement de l’entreprise est la difficulté à recruter. « C’est le nerf de la guerre parce qu’avec plus de monde, on pourrait prendre plus de commandes », indique le chef d’entreprise, annonçant le recrutement de cinq salariés supplémentaires « assez rapidement ».

Des nouveautés

Des besoins de main-d’œuvre ? « On en a dans tous les postes, confirme le patron de Structures dont le bateau à moteur rencontre également un succès. Des techniciens que s’arrachent les chantiers. À Trégunc (29), IDB Marine (22 salariés) réfléchit à embaucher pour accompagner le lancement du Mojito 6.50, la version croisière de son mini, après une année 2020 comparable à 2019, selon Denis Bourbigot. Le chantier voisin Marée haute a, lui, enregistré une petite baisse d’activité construction.