Source : www.actunautique.com
Analyse – Si la stratégie du groupe Hanse d’équilibrer son activité entre la voile et le moteur est d’une grande logique la voile représentant seulement 15% du marché du nautisme la politique de prix du chantier semble plus inquiétante : il paraît en effet difficile à terme à une entreprise N°3 d’un marché de sortir victorieuse d’une guerre des prix qu’elle a engendré un challenger se développant généralement plutôt par l’innovation. Le groupe est en outre cruellement absent du secteur des multicoques le plus dynamique actuellement situation qui a d’ailleurs incité Bavaria à racheter le français Nautitech il y a 2 ans maintenant. Coup de génie ou coup de poker ? Seul l’avenir le dira mais le pari semble toutefois bien risqué… Analyse – Si la stratégie du groupe Hanse d’équilibrer son activité entre la voile et le moteur est d’une grande logique la voile représentant seulement 15% du marché du nautisme la politique de prix du chantier semble plus inquiétante : il paraît en effet difficile à terme à une entreprise N°3 d’un marché de sortir victorieuse d’une guerre des prix qu’elle a engendré un challenger se développant généralement plutôt par l’innovation. Le groupe est en outre cruellement absent du secteur des multicoques le plus dynamique actuellement situation qui a d’ailleurs incité Bavaria à racheter le français Nautitech il y a 2 ans maintenant. Coup de génie ou coup de poker ? Seul l’avenir le dira mais le pari semble toutefois bien risqué…