Source : bourse.lesechos.fr
Si l’Europe reste toujours encalminée l’Amérique du Nord qui redémarre devrait tirer le marché mondial de la plaisance. 2014 pourrait voir arriver la fin de la crise. La Bourse l’a déjà en partie anticipée.Ainsi l’international permet aux grands groupes du secteur de naviguer vers des rivages plus ensoleillés car le marché français reste échoué dans la grisaille pénalisé par la récession et l’alourdissement de la fiscalité. La passion des Français pour le nautisme (+ 30 % de permis délivrés) ne se traduit pas par un acte d’achat : les ventes ont reculé de 16 % entre septembre 2012 et août 2013. » Un bateau c’est un produit de 3e ou 4e nécessité qui s’achète lorsque la confiance revient. Nous avons été les premiers à souffrir de la crise et serons les derniers à profiter de la reprise.