Source : www.entreprises.ouest-france.fr
Le coaching quoi ! L’étude révèle que pas mal de stagiaires craignent ensuite de larguer les amarres seuls. » Nous pensons aux propriétaires qui veulent faire progresser leur pratique sans retourner dans une école de voile mais aussi aux locataires qui redoutent de s’éloigner des côtes » détaille Jean-Pierre Champion. Loueurs de bateau ou encore SNSM qui ont constaté une hausse du nombre d’incidents de mer liés à la baisse du niveau des plaisanciers vont apprécier.Autre tendance à laquelle souhaite coller la FFV celle du bateau partagé. L’objectif est de ne pas laisser filer la tranche des 25-35 ans qui a pratiqué la voile mais n’a pas les moyens ou le désir de s’offrir un bateau. » Une des formules consisterait à mettre des flottilles de bateaux de voile légère à leur disposition le temps d’un week-end ou simplement d’une régate. » Plus besoin de s’occuper de l’entretien du convoyage et autres contraintes. Des ambitions qui vont nécessiter une remise en cause assez profonde des fonctionnements actuels. Les écoles de voiles emploient 2 000 personnes à temps pleins et 4 000 saisonniers.L’étude de Repucom confirme aussi le manque d’intérêt du public pour la voile olympique hors période des Jeux. Le président de la FFV aimerait renverser cette tendance en médiatisant davantage les épreuves et en les rendant peut-être plus ludiques. Via Internet évidemment.