Source : www.lepoint.fr
Entre réparations et commandes de bateaux neufs cette catastrophe naturelle pourrait-elle conforter la reprise d’un secteur nautique qui se relève à peine de la crise économique de 2008 ? « Même pas » répond Frédéric Bonin dont le groupe comprend une dizaine de marques de voiliers et de bateaux à moteurs. « Saint-Barthélémy et Saint-Martin sont des paradis de la voile. Mais la voile ne représente que 13 % des ventes mondiales. Et puis les constructeurs ne pourront pas doubler la production. Ça va juste rallonger les délais de livraison ».