source : francebleu.fr
Sur son catamaran, Laurent Da Rold sera bientôt dans la même situation. Sa société, Day One, ne cesse de se développer : « Aujourd’hui nous sommes huit. Dans deux ans, nous devrions passer à 50. » Le dirigeant ne sait pas trop comment il va faire, et ça l’inquiète. « Certains du secteur commencent à chercher de la main d’œuvre à l’étranger, affirme-t-il. C’est très dur pour une entreprise de presque se priver de chiffre d’affaires par manque de bras. »