Source : www.letelegramme.fr
Comment se porte le marché de la plaisance ? On est toujours en période de crise ; on ne réalise aujourd’hui que 50 % des affaires qu’on réalisait dans les années 2000-2008. Mais on note une petite embellie depuis 2015. Et il semblerait qu’elle se confirme en 2016… Le Morbihan est le deuxième département de France derrière le Var en termes de ventes de bateaux tout confondu – voilier moteur neuf et occasion – alors que nous n’avons que 75 % de sa capacité d’accueil dans les ports. La crise va-t-elle continuer ? C’est difficile à dire… On voit arriver le collaboratif et le participatif dans l’économie du nautisme. Plutôt que d’acheter et d’entretenir les gens partagent et louent… Notre clientèle est en train de vieillir. Les jeunes ne prennent pas la place des anciens propriétaires. Ils ont d’autres habitudes de consommation. À nous de nous adapter et de proposer des choses. Le marché du neuf est-il porteur ?Il est actif sur le motonautisme. Il est surtout porteur sur le créneau 40.000 – 50.000 €. Des semi-rigides ou bateaux open non habitables inférieurs à 7 m correctement motorisés. Sur les voiliers neufs on a toujours du mal à récupérer les valeurs d’avant la crise. Excepté sur un créneau haut de gamme à partir de 200.000 €. On savait que ce marché se développait en termes de production en France ; mais ces bateaux partaient plutôt à l’export. Ils commencent à être bien vendus dans l’Hexagone. Ce sont en général de véritables investissements de la part d’une clientèle qui fait ce choix à la retraite plutôt que d’acheter une résidence secondaire. C’est un choix réfléchi qui dépend plus de l’âge que de la crise. Qu’en est-il du marché d’occasion ?On note un niveau important de transactions tous segments confondus. On assiste à un ajustement des prix. C’était nécessaire ; on n’est pas dans l’immobilier mais sur des produits qui vieillissent qui nécessitent de l’entretien. On trouve des bateaux à tous les tarifs. Et il y a du choix : aujourd’hui pour 100.000 € on peut avoir un vieux voilier hauturier de 13-14 m un semi-rigide bien motorisé ou un bateau à moteur habitable d’une dizaine de mètres… L’offre est très représentative de ce qui s’est construit ces dernières années. Sur un marché somme toute petit on a noté un dynamisme des constructeurs sur tous les segments – tailles modèles. On retrouve cette pluralité dans le marché de l’occasion. Et on la retrouvera au L’Orient Nautic… Pour cette quatrième édition du L’Orient Nautic nous présentons davantage de bateaux d’occasion de particuliers comme de professionnels que l’an dernier. Un village de l’occasion à sec et à flot qui cette fois est complètement intégré au salon. Comment se porte le marché de la plaisance ? On est toujours en période de crise ; on ne réalise aujourd’hui que 50 % des affaires qu’on réalisait dans les années 2000-2008. Mais on note une petite embellie depuis 2015. Et il semblerait qu’elle se confirme en 2016… Le Morbihan est le deuxième département de France derrière le Var en termes de ventes de bateaux tout confondu – voilier moteur neuf et occasion – alors que nous n’avons que 75 % de sa capacité d’accueil dans les ports. La crise va-t-elle continuer ? C’est difficile à dire… On voit arriver le collaboratif et le participatif dans l’économie du nautisme. Plutôt que d’acheter et d’entretenir les gens partagent et louent… Notre clientèle est en train de vieillir. Les jeunes ne prennent pas la place des anciens propriétaires. Ils ont d’autres habitudes de consommation. À nous de nous adapter et de proposer des choses. Le marché du neuf est-il porteur ?Il est actif sur le motonautisme. Il est surtout porteur sur le créneau 40.000 – 50.000 €. Des semi-rigides ou bateaux open non habitables inférieurs à 7 m correctement motorisés. Sur les voiliers neufs on a toujours du mal à récupérer les valeurs d’avant la crise. Excepté sur un créneau haut de gamme à partir de 200.000 €. On savait que ce marché se développait en termes de production en France ; mais ces bateaux partaient plutôt à l’export. Ils commencent à être bien vendus dans l’Hexagone. Ce sont en général de véritables investissements de la part d’une clientèle qui fait ce choix à la retraite plutôt que d’acheter une résidence secondaire. C’est un choix réfléchi qui dépend plus de l’âge que de la crise. Qu’en est-il du marché d’occasion ?On note un niveau important de transactions tous segments confondus. On assiste à un ajustement des prix. C’était nécessaire ; on n’est pas dans l’immobilier mais sur des produits qui vieillissent qui nécessitent de l’entretien. On trouve des bateaux à tous les tarifs. Et il y a du choix : aujourd’hui pour 100.000 € on peut avoir un vieux voilier hauturier de 13-14 m un semi-rigide bien motorisé ou un bateau à moteur habitable d’une dizaine de mètres… L’offre est très représentative de ce qui s’est construit ces dernières années. Sur un marché somme toute petit on a noté un dynamisme des constructeurs sur tous les segments – tailles modèles. On retrouve cette pluralité dans le marché de l’occasion. Et on la retrouvera au L’Orient Nautic… Pour cette quatrième édition du L’Orient Nautic nous présentons davantage de bateaux d’occasion de particuliers comme de professionnels que l’an dernier. Un village de l’occasion à sec et à flot qui cette fois est complètement intégré au salon. Comment se porte le marché de la plaisance ? On est toujours en période de crise ; on ne réalise aujourd’hui que 50 % des affaires qu’on réalisait dans les années 2000-2008. Mais on note une petite embellie depuis 2015. Et il semblerait qu’elle se confirme en 2016… Le Morbihan est le deuxième département de France derrière le Var en termes de ventes de bateaux tout confondu – voilier moteur neuf et occasion – alors que nous n’avons que 75 % de sa capacité d’accueil dans les ports. La crise va-t-elle continuer ? C’est difficile à dire… On voit arriver le collaboratif et le participatif dans l’économie du nautisme. Plutôt que d’acheter et d’entretenir les gens partagent et louent… Notre clientèle est en train de vieillir. Les jeunes ne prennent pas la place des anciens propriétaires. Ils ont d’autres habitudes de consommation. À nous de nous adapter et de proposer des choses. Le marché du neuf est-il porteur ?Il est actif sur le motonautisme. Il est surtout porteur sur le créneau 40.000 – 50.000 €. Des semi-rigides ou bateaux open non habitables inférieurs à 7 m correctement motorisés. Sur les voiliers neufs on a toujours du mal à récupérer les valeurs d’avant la crise. Excepté sur un créneau haut de gamme à partir de 200.000 €. On savait que ce marché se développait en termes de production en France ; mais ces bateaux partaient plutôt à l’export. Ils commencent à être bien vendus dans l’Hexagone. Ce sont en général de véritables investissements de la part d’une clientèle qui fait ce choix à la retraite plutôt que d’acheter une résidence secondaire. C’est un choix réfléchi qui dépend plus de l’âge que de la crise. Qu’en est-il du marché d’occasion ?On note un niveau important de transactions tous segments confondus. On assiste à un ajustement des prix. C’était nécessaire ; on n’est pas dans l’immobilier mais sur des produits qui vieillissent qui nécessitent de l’entretien. On trouve des bateaux à tous les tarifs. Et il y a du choix : aujourd’hui pour 100.000 € on peut avoir un vieux voilier hauturier de 13-14 m un semi-rigide bien motorisé ou un bateau à moteur habitable d’une dizaine de mètres… L’offre est très représentative de ce qui s’est construit ces dernières années. Sur un marché somme toute petit on a noté un dynamisme des constructeurs sur tous les segments – tailles modèles. On retrouve cette pluralité dans le marché de l’occasion. Et on la retrouvera au L’Orient Nautic… Pour cette quatrième édition du L’Orient Nautic nous présentons davantage de bateaux d’occasion de particuliers comme de professionnels que l’an dernier. Un village de l’occasion à sec et à flot qui cette fois est complètement intégré au salon.