Source : www.lesechos.fr
L’idée : mieux coordonner le développement et la production. Mal adaptée à l’arrivée de nouveaux modèles, cette dernière avait dû recourir massivement au travail intérimaire – une des causes de l’explosion des coûts.
Le groupe entend donc réduire fortement le travail intérimaire et embaucher environ 50 salariés. Il veut vendre 400 à 500 bateaux dans les douze prochains mois et vise l’équilibre pour son exercice 2019/2020.
« L’image du groupe a été abîmée », commente Jan Spengler, propriétaire du courtier de bateaux Michael Schmidt & Partner à Hambourg. « Mais revenir à un modèle de production efficace est la bonne stratégie ».