Source : www.liberation.fr
Chez les voileux il y a les riches (rares) les moins riches (la majorité) et les pauvres (nombreux) qui peuvent aller jusqu’à hypothéquer leur maison pour être au départ d’une course… Tous se rejoignent sur un point avec parfois un peu d’amertume: il leur est plus facile de lutter contre les éléments que de trouver de l’argent pour disputer une transat ou un tour du monde. Et neuf fois sur dix les budgets sont ric-rac. Au point que certains prennent le départ sans assurer leur bateau faute de pouvoir payer les primes.