Source : www.sudouest.fr
Une « catastrophe »Pour Yannick Bestaven joint au téléphone c’est une véritable « catastrophe » qui vient s’ajouter à des difficultés de trésorerie récurrentes malgré 900 000 euros de chiffre d’affaires. En 2015 le chef d’entreprise a ainsi dû se séparer de deux salariés et « depuis un an et demi je ne me verse plus de salaire. C’est mon activité de course au large qui me rémunère ».