Source : www.letelegramme.fr
C’est notamment le cas de » Piriou Cotten IDB-Marine Marée Haute « . À divers degrés et selon l’évolution du marché ces entreprises ont recruté recrutent encore ou envisagent de le faire. Comme IDB-Marine et Marée Haute. Avec en plus Espace Vag Kaïros et Ino-Rope le monde du nautisme embauche plutôt bien. Ces entreprises qui recrutent IDB-Marine : de 2 à 17 » Nous étions deux en 2006 et nous sommes maintenant 17 dont deux gérants » résume Denis Bourbigot patron d’IDB-Marine. Une forte croissance d’effectif qui n’est pas terminée puisque le chantier envisage d’embaucher encore. Tout en restant prudent » je fais toujours un prévisionnel au ras des pâquerettes » souligne-t-il. Il estime que le marché du nautisme connaît » un petit frémissement en ce moment « . D’ailleurs son voilier » Mojito 888 » marche plutôt bien. Pour recruter il travaille beaucoup avec Pôle Emploi ou la Mission locale utilise les candidatures spontanées et prend en stage des élèves du lycée Jean-Moulin de Plouhinec (Cap-Sizun). » Nous avons déjà embauché les deux stagiaires que nous avions pris durant quelques semaines « . Ce qu’il cherche surtout ? » Des salariés polyvalents » car IDB-Marine travaille » beaucoup sur la formation maison « . Marée Haute : » la compétence » Pour Serge Calvez patron du chantier Marée Haute la croissance des effectifs est aussi une réalité : » Nous étions cinq personnes en 2004 et nous sommes maintenant 16 avec deux ou trois salariés en plus selon les chantiers « . Comme celui qu’il est en train de conduire avec la construction de son » Django 12.70 « . Il travaille avec Pôle Emploi et estime que » recruter un bon salarié est compliqué « . D’autant plus que » le turnover est relativement important même si l’effectif est maintenant stabilisé « . Ce qu’il cherche ? » Un peu le mouton à cinq pattes « . Mais surtout » la compétence et la polyvalence « . Et bien évidemment » une bonne connaissance du milieu même si on n’a pas besoin d’être navigateur pour bien construire un bateau « . Pour l’embauche il exige toujours » une expérience professionnelle car c’est elle qui fait la polyvalence et donne la compétence « . Espace Vag : » effectif stable » Pour Pierrick de Kervénoaël patron du chantier Espace Vag » l’effectif est plutôt stable « . Ils étaient sept en 2009 et après un petit creux en 2014 il est remonté à huit avec une nouvelle embauche cette année. Pour le recrutement » je n’utilise pas nécessairement Pôle Emploi et je cherche surtout des gens qui ont envie de rentrer dedans « . Lui aussi fonctionne avec la formation maison. A priori il ne pense pas embaucher dans l’immédiat. Car tout en notant » un petit mieux pour le secteur par rapport à l’an dernier » surtout avec son » Ikone 7.50 m » il estime que le marché reste encore trop mou et offre » peu de visibilité à moyen ou long terme « . Kaïros et Ino-Rope Le recrutement est aussi d’actualité chez Kaïros société fondée par Rolland Jourdain en 2007 et qui compte » une dizaine de salariés avec des pics à quinze ou 18 » comme en ce moment pour la préparation d’un bateau pour le Vendée Globe. Deux secteurs d’activité pour cette entreprise : » gestion d’écuries pour la course au large notamment et recherche sur les biomatériaux « . Le recrutement concerne surtout la » matière grise « . La réputation fait que ce ne sont pas les candidatures spontanées qui manquent. Dans les mêmes locaux Ino-Rope est spécialisée dans le cordage et le gréement de très haute performance. Et l’emploi ? » C’est l’explosion ! « . » On était deux en 2013 quand j’ai fondé la boîte avec Julien Barnet et nous sommes dix maintenant » résume Thibault Reinhart. Et comme » tout reste encore à faire dans ce secteur très pointu » il envisage d’embaucher » énormément « . Mais sans Pôle Emploi : » C’est uniquement par réseau « . Pas de problème de recrutement : » L’image de marque de la société attire beaucoup « . C’est notamment le cas de » Piriou Cotten IDB-Marine Marée Haute « . À divers degrés et selon l’évolution du marché ces entreprises ont recruté recrutent encore ou envisagent de le faire. Comme IDB-Marine et Marée Haute. Avec en plus Espace Vag Kaïros et Ino-Rope le monde du nautisme embauche plutôt bien. Ces entreprises qui recrutent IDB-Marine : de 2 à 17 » Nous étions deux en 2006 et nous sommes maintenant 17 dont deux gérants » résume Denis Bourbigot patron d’IDB-Marine. Une forte croissance d’effectif qui n’est pas terminée puisque le chantier envisage d’embaucher encore. Tout en restant prudent » je fais toujours un prévisionnel au ras des pâquerettes » souligne-t-il. Il estime que le marché du nautisme connaît » un petit frémissement en ce moment « . D’ailleurs son voilier » Mojito 888 » marche plutôt bien. Pour recruter il travaille beaucoup avec Pôle Emploi ou la Mission locale utilise les candidatures spontanées et prend en stage des élèves du lycée Jean-Moulin de Plouhinec (Cap-Sizun). » Nous avons déjà embauché les deux stagiaires que nous avions pris durant quelques semaines « . Ce qu’il cherche surtout ? » Des salariés polyvalents » car IDB-Marine travaille » beaucoup sur la formation maison « . Marée Haute : » la compétence » Pour Serge Calvez patron du chantier Marée Haute la croissance des effectifs est aussi une réalité : » Nous étions cinq personnes en 2004 et nous sommes maintenant 16 avec deux ou trois salariés en plus selon les chantiers « . Comme celui qu’il est en train de conduire avec la construction de son » Django 12.70 « . Il travaille avec Pôle Emploi et estime que » recruter un bon salarié est compliqué « . D’autant plus que » le turnover est relativement important même si l’effectif est maintenant stabilisé « . Ce qu’il cherche ? » Un peu le mouton à cinq pattes « . Mais surtout » la compétence et la polyvalence « . Et bien évidemment » une bonne connaissance du milieu même si on n’a pas besoin d’être navigateur pour bien construire un bateau « . Pour l’embauche il exige toujours » une expérience professionnelle car c’est elle qui fait la polyvalence et donne la compétence « . Espace Vag : » effectif stable » Pour Pierrick de Kervénoaël patron du chantier Espace Vag » l’effectif est plutôt stable « . Ils étaient sept en 2009 et après un petit creux en 2014 il est remonté à huit avec une nouvelle embauche cette année. Pour le recrutement » je n’utilise pas nécessairement Pôle Emploi et je cherche surtout des gens qui ont envie de rentrer dedans « . Lui aussi fonctionne avec la formation maison. A priori il ne pense pas embaucher dans l’immédiat. Car tout en notant » un petit mieux pour le secteur par rapport à l’an dernier » surtout avec son » Ikone 7.50 m » il estime que le marché reste encore trop mou et offre » peu de visibilité à moyen ou long terme « . Kaïros et Ino-Rope Le recrutement est aussi d’actualité chez Kaïros société fondée par Rolland Jourdain en 2007 et qui compte » une dizaine de salariés avec des pics à quinze ou 18 » comme en ce moment pour la préparation d’un bateau pour le Vendée Globe. Deux secteurs d’activité pour cette entreprise : » gestion d’écuries pour la course au large notamment et recherche sur les biomatériaux « . Le recrutement concerne surtout la » matière grise « . La réputation fait que ce ne sont pas les candidatures spontanées qui manquent. Dans les mêmes locaux Ino-Rope est spécialisée dans le cordage et le gréement de très haute performance. Et l’emploi ? » C’est l’explosion ! « . » On était deux en 2013 quand j’ai fondé la boîte avec Julien Barnet et nous sommes dix maintenant » résume Thibault Reinhart. Et comme » tout reste encore à faire dans ce secteur très pointu » il envisage d’embaucher » énormément « . Mais sans Pôle Emploi : » C’est uniquement par réseau « . Pas de problème de recrutement : » L’image de marque de la société attire beaucoup « . Ces entreprises qui recrutent IDB-Marine : de 2 à 17 » Nous étions deux en 2006 et nous sommes maintenant 17 dont deux gérants » résume Denis Bourbigot patron d’IDB-Marine. Une forte croissance d’effectif qui n’est pas terminée puisque le chantier envisage d’embaucher encore. Tout en restant prudent » je fais toujours un prévisionnel au ras des pâquerettes » souligne-t-il. Il estime que le marché du nautisme connaît » un petit frémissement en ce moment « . D’ailleurs son voilier » Mojito 888 » marche plutôt bien. Pour recruter il travaille beaucoup avec Pôle Emploi ou la Mission locale utilise les candidatures spontanées et prend en stage des élèves du lycée Jean-Moulin de Plouhinec (Cap-Sizun). » Nous avons déjà embauché les deux stagiaires que nous avions pris durant quelques semaines « . Ce qu’il cherche surtout ? » Des salariés polyvalents » car IDB-Marine travaille » beaucoup sur la formation maison « . Marée Haute : » la compétence » Pour Serge Calvez patron du chantier Marée Haute la croissance des effectifs est aussi une réalité : » Nous étions cinq personnes en 2004 et nous sommes maintenant 16 avec deux ou trois salariés en plus selon les chantiers « . Comme celui qu’il est en train de conduire avec la construction de son » Django 12.70 « . Il travaille avec Pôle Emploi et estime que » recruter un bon salarié est compliqué « . D’autant plus que » le turnover est relativement important même si l’effectif est maintenant stabilisé « . Ce qu’il cherche ? » Un peu le mouton à cinq pattes « . Mais surtout » la compétence et la polyvalence « . Et bien évidemment » une bonne connaissance du milieu même si on n’a pas besoin d’être navigateur pour bien construire un bateau « . Pour l’embauche il exige toujours » une expérience professionnelle car c’est elle qui fait la polyvalence et donne la compétence « . Espace Vag : » effectif stable » Pour Pierrick de Kervénoaël patron du chantier Espace Vag » l’effectif est plutôt stable « . Ils étaient sept en 2009 et après un petit creux en 2014 il est remonté à huit avec une nouvelle embauche cette année. Pour le recrutement » je n’utilise pas nécessairement Pôle Emploi et je cherche surtout des gens qui ont envie de rentrer dedans « . Lui aussi fonctionne avec la formation maison. A priori il ne pense pas embaucher dans l’immédiat. Car tout en notant » un petit mieux pour le secteur par rapport à l’an dernier » surtout avec son » Ikone 7.50 m » il estime que le marché reste encore trop mou et offre » peu de visibilité à moyen ou long