Source : letelegramme.fr
« J’ai vendu la moitié des bateaux que j’avais au salon. Et je pense que plusieurs contacts pris durant ce week-end vont se concrétiser dans les prochaines semaines. Le marché est redevenu très porteur. Il y a un signe qui ne trompe pas : nombre de clients achètent, par coup de cœur, des bateaux d’occasion plus importants, tout en n’ayant pas encore vendu leur précédent. Car ils savent que les délais de livraison sont longs pour le marché du neuf et que les tarifs sont partout à la hausse. Par exemple, un Jeanneau à moteur Merry Fisher 795, que je vendais 65 000 euros, l’an dernier, est parti, cette fois, à 105 000 euros, et un Beneteau Océanis 37, vendu 76 000 euros voici trois ans, a trouvé aujourd’hui facilement preneur pour 99 000 euros. »