L’Occitanie, place forte du nautisme en Méditerranée

Source : www.ladepeche.fr

Avec 220 kilomètres de côtes et 70 ports de plaisance la Région Occitanie est l’une des places fortes du littoral français avec des enjeux économiques et pour l’emploi. Les chiffres ne mentent pas. Tarifs : quelques exemples Les tarifs varient selon le nombre de postes et les dimensions des bateaux. Concrètement cela peut aller de 1271€ par an à 6061€ pour un grand bateau à Argelès-sur-Mer et de 320€ à 2017€ aux Cabanes-de-Fleury. À Narbon-ne-Plage selon la dimension les prix varient de 561 à 3159 € tandis qu’à Canet il vont de 959 à 7 059 € et au Barcarès de 985 à 4814 €. À chaque port des équipements des demandes des services spécifiques. C’est ce qui définit les prix qui sont consultables librement sur le site internet de l’UVPLR ou auprès des mairies concernées. En région le record est détenu par Carcassonneet son port du canal avec un minima à 1482€ et un maximum à 7980€ annuels sur le Canal. Qui sont les plaisanciers ? Que l’on aime ou non il existe un profil type du plaisancier sur le littoral de la région Occitanie. Il s’agit d’un homme retraité donc âgé de 60 ans et plus qui habite sur place et dispose d’un bateau à moteur de plus de 8 mètres de long de 20 ans d’âge acquis en moyenne il y a six ans. Dans la plupart des cas son port d’attache est proche de son lieu d’habitation et ses sorties se limitent à la journée et au cabotage. Les touristes et les usagers dits « ponctuels » des ports d’Occitanie sont différents. Un marché en crise Les ventes de bateaux neufs sont un paramètre essentiel du marché nautique régional mais également français. Or les chiffres de ces ventes sont en baisse régulière. La vente de bateaux s’adresse aujourd’hui à un plaisancier dont l’âge moyen est de 54 ans et qui appartient majoritairement à la catégorie des cadres supérieurs. Un segment qui s’essouffle car l’offre actuelle parvient moins à séduire les nouvelles générations. La moyenne des bateaux est de 8 mètres avec une répartition quasi équivalente entre les bateaux à voile et les bateaux à moteur. En 10 ans les immatriculations ont augmenté de 2 % par an plus rapidement que la moyenne française. Selon les professionnels du nautisme le marché de la plaisance accuse quand même une crise. Les plaisanciers en région sont avant tout composés de retraités résidant en région possédant un bateau d’occasion et pratiquant les sorties à la journée. Les escales pratiquées par les propriétaires de bateaux de plus de 10 mètres ne représentent qu’une très faible part de l’activité des ports régionaux. La Dépêche du Midi Avec 220 kilomètres de côtes et 70 ports de plaisance la Région Occitanie est l’une des places fortes du littoral français avec des enjeux économiques et pour l’emploi. Les chiffres ne mentent pas. Tarifs : quelques exemples Les tarifs varient selon le nombre de postes et les dimensions des bateaux. Concrètement cela peut aller de 1271€ par an à 6061€ pour un grand bateau à Argelès-sur-Mer et de 320€ à 2017€ aux Cabanes-de-Fleury. À Narbon-ne-Plage selon la dimension les prix varient de 561 à 3159 € tandis qu’à Canet il vont de 959 à 7 059 € et au Barcarès de 985 à 4814 €. À chaque port des équipements des demandes des services spécifiques. C’est ce qui définit les prix qui sont consultables librement sur le site internet de l’UVPLR ou auprès des mairies concernées. En région le record est détenu par Carcassonneet son port du canal avec un minima à 1482€ et un maximum à 7980€ annuels sur le Canal. Qui sont les plaisanciers ? Que l’on aime ou non il existe un profil type du plaisancier sur le littoral de la région Occitanie. Il s’agit d’un homme retraité donc âgé de 60 ans et plus qui habite sur place et dispose d’un bateau à moteur de plus de 8 mètres de long de 20 ans d’âge acquis en moyenne il y a six ans. Dans la plupart des cas son port d’attache est proche de son lieu d’habitation et ses sorties se limitent à la journée et au cabotage. Les touristes et les usagers dits « ponctuels » des ports d’Occitanie sont différents. Un marché en crise Les ventes de bateaux neufs sont un paramètre essentiel du marché nautique régional mais également français. Or les chiffres de ces ventes sont en baisse régulière. La vente de bateaux s’adresse aujourd’hui à un plaisancier dont l’âge moyen est de 54 ans et qui appartient majoritairement à la catégorie des cadres supérieurs. Un segment qui s’essouffle car l’offre actuelle parvient moins à séduire les nouvelles générations. La moyenne des bateaux est de 8 mètres avec une répartition quasi équivalente entre les bateaux à voile et les bateaux à moteur. En 10 ans les immatriculations ont augmenté de 2 % par an plus rapidement que la moyenne française. Selon les professionnels du nautisme le marché de la plaisance accuse quand même une crise. Les plaisanciers en région sont avant tout composés de retraités résidant en région possédant un bateau d’occasion et pratiquant les sorties à la journée. Les escales pratiquées par les propriétaires de bateaux de plus de 10 mètres ne représentent qu’une très faible part de l’activité des ports régionaux. La Dépêche du Midi Tarifs : quelques exemples Les tarifs varient selon le nombre de postes et les dimensions des bateaux. Concrètement cela peut aller de 1271€ par an à 6061€ pour un grand bateau à Argelès-sur-Mer et de 320€ à 2017€ aux Cabanes-de-Fleury. À Narbon-ne-Plage selon la dimension les prix varient de 561 à 3159 € tandis qu’à Canet il vont de 959 à 7 059 € et au Barcarès de 985 à 4814 €. À chaque port des équipements des demandes des services spécifiques. C’est ce qui définit les prix qui sont consultables librement sur le site internet de l’UVPLR ou auprès des mairies concernées. En région le record est détenu par Carcassonneet son port du canal avec un minima à 1482€ et un maximum à 7980€ annuels sur le Canal. Qui sont les plaisanciers ? Que l’on aime ou non il existe un profil type du plaisancier sur le littoral de la région Occitanie. Il s’agit d’un homme retraité donc âgé de 60 ans et plus qui habite sur place et dispose d’un bateau à moteur de plus de 8 mètres de long de 20 ans d’âge acquis en moyenne il y a six ans. Dans la plupart des cas son port d’attache est proche de son lieu d’habitation et ses sorties se limitent à la journée et au cabotage. Les touristes et les usagers dits « ponctuels » des ports d’Occitanie sont différents. Un marché en crise Les ventes de bateaux neufs sont un paramètre essentiel du marché nautique régional mais également français. Or les chiffres de ces ventes sont en baisse régulière. La vente de bateaux s’adresse aujourd’hui à un plaisancier dont l’âge moyen est de 54 ans et qui appartient majoritairement à la catégorie des cadres supérieurs. Un segment qui s’essouffle car l’offre actuelle parvient moins à séduire les nouvelles générations. La moyenne des bateaux est de 8 mètres avec une répartition quasi équivalente entre les bateaux à voile et les bateaux à moteur. En 10 ans les immatriculations ont augmenté de 2 % par an plus rapidement que la moyenne française. Selon les professionnels du nautisme le marché de la plaisance accuse quand même une crise. Les plaisanciers en région sont avant tout composés de retraités résidant en région possédant un bateau d’occasion et pratiquant les sorties à la journée. Les escales pratiquées par les propriétaires de bateaux de plus de 10 mètres ne représentent qu’une très faible part de l’activité des ports régionaux. La Dépêche du Midi Qui sont les plaisanciers ? Que l’on aime ou non il existe un profil type du plaisancier sur le littoral de la région Occitanie. Il s’agit d’un homme retraité donc âgé de 60 ans et plus qui habite sur place et dispose d’un bateau à moteur de plus de 8 mètres de long de 20 ans d’âge acquis en moyenne il y a six ans. Dans la plupart des cas son port d’attache est proche de son lieu d’habitation et ses sorties se limitent à la journée et au cabotage. Les touristes et les usagers dits « ponctuels » des ports d’Occitanie sont différents. Un marché en crise Les ventes de bateaux neufs sont un paramètre essentiel du marché nautique régional mais également français. Or les chiffres de ces ventes sont en baisse régulière. La vente de bateaux s’adresse aujourd’hui à un plaisancier dont l’âge moyen est de 54 ans et qui appartient majoritairement à la catégorie des cadres supérieurs. Un segment qui s’essouffle car l’offre actuelle parvient moins à séduire les nouvelles générations. La moyenne des bateaux est de 8 mètres avec une répartition quasi équivalente entre les bateaux à voile et les bateaux à moteur. En 10 ans les immatriculations ont augmenté de 2 % par an plus rapidement que la moyenne française. Selon les professionnels du nautisme le marché de la plaisance accuse quand même une crise. Les plaisanciers en région sont avant tout composés de retraités résidant en région possédant un bateau d’occasion et pratiquant les sorties à la journée. Les escales pratiquées par les propriétaires de bateaux de plus de 10 mètres ne représentent qu’une très faible part de l’activité des ports régionaux. La Dépêche du Midi